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St​é​rile com​é​die

by Mortel

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1.
Dormir. Je veux juste... Dormir. Fermer les yeux et enfin... Dormir. Trouver le sommeil... Ou m'évanouir. Je ne pense à rien, j'écoute les battements de mon cœur. Je n'éprouve rien (le vide), Je doute seulement de l'heure. .. D'ailleurs... Dormir, je veux juste Dormir maintenant. Ma tête, Tu dors ! Ma faim, Tu dors ! Mon ouïe, Tu dors ! Mon confort, Tu dors ! Mes bras, dors ! Mes mains, dors ! Mes doigts, dors ! Mes poils, dors ! Mes pores, dors ! Mes gènes.... zzzzzz (Mes mains... Mes 2 mains...) Mais demain !?! Dormir, je veux juste Dormir maintenant. J'dois m'fiche de tout. Du boulot, des marmots, des tracas, même des joies, Des plaisirs, de l'avenir, des Todo, des remous, Des connards, des panards, des envies, des profits. Des infos, Des complots, de la guerre, des mystères Des râleurs, d'être à l'heure, De ta sœur, d'la noirceur, D'la Russie, des messies, Des abus, des barbus, Des chinois, des tournois, Des Afghans, des slogans, Des brigands, des Balkans, de la drogue, des bagnoles, Des Rosbeefs, c'qu'on en dit. Du chômage, du clonage, Du climat, Du karma, La misère, le désert, ...
2.
Punk ASMR 02:33
ASMR Pour les vénères. Je me tartine de terrine. Je m'gargarise de bibine. Tu sens mon son stimuli. Pour punk en catalepsie. Des émotions pour les keupons! Oï, Oï, Oï ! Pour les confrères privés d'concerts. Pour les Hardos privés de fosse. Pour les rockeurs privés de sueur. DU SON !!! ASMR Pas pour ta mère. Sur mon micro dégouline. Mon vomi par les narines. Tu sens mon son sensation. Pour métalleux en chaussons. POGO !!! [Bousculements, Bousculades, Bousculages et autres Bousculations] ASMR Version colère. [Growl en inspiration... Pas fastoche (je suis sur que vous êtes en train d'essayer ;-D )]
3.
J'ai besoin, seulement de respirer. J'ai besoin, et de m'alimenter. J'en ai besoin, assurez le vital. Et après, le reste m'est bien égal. J'ai besoin, aussi de sécurité. Et bien sur, de me sentir aimé. C'est un besoin, qu'on me doive le respect. Et après, je me débrouillerai. J'ai besoin, là là là là là là là là. J'ai besoin, là là là là là là là là. Tous ces besoins, sont élémentaires. Car sans ça, pourquoi être sur terre ? Un besoin, cache un besoin. Comme un coup de poing, dans une quiétude féconde. Un besoin, de près ou de loin. Dans chaque recoin, Pourtant la terre est ronde. J'ai besoin, de chauffage en hiver. J'ai besoin, de me faire une croisière. J'ai besoin, de la clim dans ma caisse. J'ai ai besoin, jusque dans mes commerces. J'ai besoin, de la neige dans l'désert. J'ai besoin, de saunas en plein air. J'ai besoin, que tout le monde pense comme moi. Et au besoin, de t'imposer ma loi. Le besoin, une fois ancien. On en r'crèe un pour te motiver. Si ces besoins n'ont pas de fin. Ces besoins ruinent déjà les premiers.
4.
Marche tu es une ombre maintenant. Tu es condamné au néant. Tu as payé de tes viscères. La rando des 9 cercles de l'enfer. Marche. Paye ton Obole à Charon. Marche. Avant qu'il ne te noie dans l'Achéron. Tu t'imagines sur le podium. Tu sors à peine du Pandémonium. Ne traine dans les Élysées. Minos pourrait croire que tu veux tricher. Marche. Baisse tes yeux devant le cerbère. Marche. Il ne faut pas qu'il te repère. Une fois passés les remparts de Dité. Ne laisse pas les 3 furies te charmer. Phlégias laissera volontiers les 1000 démons. T'envoient au Tartare sans sommation. Marche. Numéro 666. Marche. Tu franchiras bientôt le Styx. Accélère, t'es loin derrière. Mieux que le Triathlon, le Phlégéthon. T'es globule écarlate en ébullition. Et ne va pas te plaindre au Minotaure. Ou Nessus te fera bouffer par ses Médors. Cours. le 7ème cercle est passé. Cours. est-ce toi qui sent le grillé ? Pas le temps d'un cocktail sur la terrasse. Fuit les ensorceleurs ou devient limace. Contourne sans choir dans le trou des géants. Ou même le grand Ulysse s'est vautré dedans. Cours. Les 10 Bolges en une bouchée. Cours. Contrôle tes poches c'est mal fréquenté. Après les termes bouillants, la douche glacée. Tu préfères finir en cône ou en sorbet ? Satan t'attend pour prendre l'apéro. Mais ne te fourvoie pas, c'est toi l’gâteau. Cours. Plus que quelques mètres pour être premier. Cours. Le feu au cul t'a un peu aidé.
5.
A flux tendu 03:30
Tu t’habilles en prêt à penser, La clé en mains c’est plus facile Des lieux communs t’en a assez, Pour gaver ton cerveau fragile. Sans distinction t’acceptes tout, devenu pour eux une cible Eux tous ces grands manitous, du temps de cerveau disponible Ton monde à toi en mode bistro, Réfractaire à toute critique Te fait la proie de tout escroc, Ou charlatan en politique Tu prends pour argent comptant, Intox, racontar ou fake news Les points de vue les plus déments, Aveuglément tu les épouses. [Refrain] Tu vis ta vie à fonds perdu. En préjugés, de pas grand chose En points de vue trop attendus, t’en démarquer, jamais tu n’oses Tu ne voudrais à aucun prix, Changer d’avis, Ou de boutique T’es devenu simple d’esprit, Simple d’esprit, d’esprit critique Plus de jardin secret à toi, Tu restes à jamais vulnérable A travers les liens bien sournois, de ton smartphone et ton portable Tu n’es même pas conscient, de traîner ces fils à ta patte De t’enfermer en ces carcans, Et ces émotions immédiates. Ton monde se résume en écrans, Ta réalité en mensonges En scoop en buzz et autres vents, Pour lesquels, toi, tu n’es qu’éponge Avec ce tempo effréné, Que de toi même tu adoptes Tu ne vis qu’en accéléré, Et en agitation non stop. [Refrain] Tu vis ta vie à flux tendu, Sans respirer, Ni faire de pause Tu vis ta vie à corps perdu, Jusqu’à risquer, Des overdoses T’es devenu un robot, Auto-réduit, En esclavage De ta naissance à ton tombeau, Auto-détruit, Par tes mirages.
6.
[Refrain] Il m’a dit être seul et mal le supporter Il m’a dit ouvre-moi et viens me consoler Il voulait que pour lui je te dise reviens Il voulait que le temps ne soit plus assassin Dans le tiroir secret du vieux meuble en santal Un soir de vague à l’âme apparu ton journal Un beau livre doré aux parures orientales Acheté dans les souks des faubourgs de Jemmal Ses dorures vernies m’ont confiées sa détresse De contenir tes mots, tes élans, tes tendresses Il trouvait tes pensées bien trop lourdes à porter Beaucoup trop d’émotions, bien trop d’actes manqués [Refrain] J’ai tapoté le cuir de l’ouvrage doré Et sous mes doigts fébriles à frémi le passé La serrure d’argent perfide m’invitait A pénétrer ton être et tes rêves cachés A travers le vélin le bonheur me parlait Au delà de l’absence enfin tu revenais Je nous voyais heureux, me rappelais nos rires Revivais nos folies goûtais nos souvenirs [Refrain] Les appels incessants de l’ouvrage enjôleur N’auront pas altéré les forces de mon cœur Lentement j’ai posé sur le bois patiné Le témoin inviolé de tes passions privées Dans le tiroir secret du vieux meuble en santal J’ai respecté ton âme et remis ton journal Le beau livre doré aux parures orientales S’est rendormi serein dans une aurore pâle S’est laissé caressé comme un jeune animal [Refrain]
7.
J'ai dû traîner mes bottes aux quatre coins du globe Pour tenter d'y trouver le vrai sens de ma vie. M'évader du carcan d'obsessions claustrophobes Retrouver le chemin de mes rêves enfuis. J'ai parcouru le monde dans la quête impossible D'un ailleurs plus serein et d'horizons radieux De contrées chimériques autant qu'inaccessibles De havres de douceur et de cieux toujours bleus. j'ai traîné mes boulets, j'ai traîné mon ennui J'ai tenté de noyer, L'obsession de mes nuits. Mes illusions perdues …. Dans ma fuite éperdue …. J'ai dû courir en vain après leurres et mirages. aussitôt dissipés aussitôt évanouis. J'ai bourlingué partout de tempêtes en naufrages. Et c'est un vrai miracle si je vis aujourd'hui. Tel un nouvel Ulysse avec son long voyage Semé de dures épreuves de pièges et de dangers Je reviens au bercail peut-être un peu plus sage En tout cas convaincu d'avoir enfin changé. J'ai laissé mes boulets, D'aventurier perdu Et mes rêves noyés, Par les sirènes nues J'attends, agenouillé A ton rivage déçu J'ai laissé mes boulets Aux rives Atlantide Aux îles sans trésor Près de l'arche perdue Et je reviens plus fort Au pied du roi David Et Là où nait l'aurore Aux jardins suspendus ... Mais tu n’es plus au port
8.
Si j'pouvais, choisir l'instant y voyager en première classe. Si j'pouvais, et l'emplacement sans avoir à mettre mes godasses. Ce s'rait parfait, Je serais, là où l'aventure se passe. Si parfait, J'irais, quand la situation nous glace. En quête de frisson, en liquide ou espèce. Je suis toujours à fond avec ou sans caisses. Qu'importe le flacon, Pourvu qu'il y ait l'ivresse. J'prends toutes les options pour en faire ma maitresse. Grace à mon invention, je choisis une adresse. Je traverse les saisons, et prend place dans la pièce. Ça manque pas d'occasions, du JT à Ramsès. J'appuie sur le bouton, je m'accroche et j'encaisse. Et j'étais Buffalo fouettant en fuyant les Apaches. Et j'étais Geronimo galopant lançant sa hache. Et j'avais froid dans le dos et voulait scalper ma carcasse. Les deux côtés du tableau, cumulés c'est double orgasme. Il suffit d'un crayon pour que sache la jeunesse. Mais faut croire que l'brouillon, ne se perde sans cesse. Juste un peu de déraison pour que puisse la vieillesse. Mais l'confort du salon doit nous souder les fesses. Seule l'imagination, n'a pas d'âge ni faiblesses. Elle ne s'use sans raison que si tu la délaisse. Je peux vivre dans l'action, sans verser une seule pièce. Ma machine en fusion, tient toujours ses promesses. Et j'étais sur l'échafaud, dernier Bourbon à vous faire face. Et j'étais le Bourreau, tranchant l'Histoire sur la grand place. Et j'étais dans Apollo, voyant la terre n'étant qu'une tache. Et j'étais dans Lascaux, voyant l'humain moins comme menace. Cette machine j'l'aie dans la peau. La porte d'entrée est sous l'chapeau. Un bouquin, un conte, un propos. Et c'est parti Ferme les hublots
9.
Hé ouais, j'ai un dragon. Un vrai qui vole et tout. Mais il est con. T'en rêvais... Bin moi je l'ai. Avec ça j'ai du style. Mais qu'est ce qu'il est débile. Et PAF, bien sur. Ça paraissait trop beau. Comme gagner une croisière, Mais c'est en pédalo. J'ai bien tenté de le dresser. Il est d'bonne volonté. Il va chercher. Mais c't'idiot, n'a pas bien pigé. Quand je lance un bâton, y m'ramène l'arbre entier. Et PAF, c'était sur. Ça paraissait trop beau. Comme un porte clefs Ferrari, pour ouvrir une Twingo. Il est gentil, et si mignon. Mais quand il fait le beau, il m'défonce le plafond. Mais quoi faire ? J'vais pas l'gronder. Car quand il est vexé, il bouffe tout le quartier. Et PAF, bien sur. Ça paraissait trop beau. Comme dans un conte de fée, Qui s'arrête au crapaud. Et VLAN, c'était sur. j'ai que l'papier du cadeau. Comme être en démocratie, Sous Bolsonaro. J'ai un dragon... Débile. Comme sur une ile déserte, avec une catho. Comme un concert de rock, assis et sans bistro. Comme être fan de foot, et être écolo.
10.
Si Jean Sebast' était vivant, Y prendrait son micro en gueulant : "Oyez la foule, Oyez les gens ! J'vous promets c'tait pas mieux avant". Y avait l'sans fil mais pas l'écran. Y avait l'turbo mais pas l'volant. Être né avant l'an 1700. Tu peux m'croire, c'était piquant. Frappe dans tes mains ! C'est mieux maintenant. Y a des sans dents, Des draps chauffants, Des canards vibrants, Des collants drainants, Des sièges branlants. Non vraiment c'tait pas mieux avant. Sais tu qu'avant, Si tu voulais devenir talent, Fallait bosser, apprendre par coeur tes gammes tous les soirs, c'était chiant. Mais maintenant, pour être brillant, Il suffit de t'gonfler l'séant, Faire le mariolle devant l'écran, plus t'es bête plus t'es opulent, Même plus d'perruque à Cadogan. On s'fait un rock des décadents, Vive les tyrans, les charlatans. Qui trouvent leur compte dans c'bataclan. Qui promeut les cons les fainéants. On s'fait un rock de fin d'saison Qui craint pour les générations. Car quand s'écroulera la maison. Faut voir qui pointe à l'horizon. Naaaan, j'veux pas rev'nir dans l'temps... Car si on marche sur nos têtes. Si on creuse sans fin nos dettes. On prône tous le Carpe Diem. Et ça, c'est ça l'évolution. Y suffit d'un peu d'raison. d'virer ensuite tous ces cons. Qui sucent nos aspirations. Eeeet C'est bon.
11.
C’est le vieux combat des egos, Survivance d’un temps passé Où tes ancêtres du Congo, Affectaient de se tabasser. [Refrain] Frappe ta poitrine, Fronce tes sourcils Fais sinistre mine, Rude et endurcie. Mais l’infâme ennemi d’en face, Devant tes traits intimidants Et tes effroyables grimaces, Risque d’en faire tout autant. ...Enculé d’ta race ! T’es qu’un incapable ! ...Va t’faire foutre connasse ! Face de rat, minable ! [Refrain] Retrousse tes babines, Découvre tes dents Surtout les canines, C’est impressionnant. Qui de vous deux devra céder, Piteusement battre en retraite Et honteusement concéder, A l’adversaire sa défaite. ...Crève donc, vipère ! Abruti Enflure ! ...Va niquer ta mère ! Tu t’es vu, crevure ! [Refrain] Ton honneur en cause, Tu dois le défendre Bec et ongles, sans pause, Surtout pas te rendre. Assume donc cet héritage, De tes lointains cousins les singes Pour de géniaux remue-ménage, De moins géniaux remue-méninges. ...Tu n’es qu’une andouille ! Toi un sale connard ! ...T’es un vrai casse-couille ! J’te niqu’rai, bâtard ! [Refrain] Non tu ni peux rien, Tu es excusable : Cerveau reptilien, C’est inévitable. T’as cependant sur tes ancêtres, un incontestable avantage Tu bénéficies de l’usage, De la parole Faut l’reconnaître. ...T’es qu’un couille molle ! Toi t’es qu’un vendu ! ...Regarde ce gogol ! Fais gaffe trou du cul ! [Refrain] Tire toi vite ordure ! Ferme-la, grognasse ! T’es qu’une raclure ! Casse-toi pouffiasse ! la communication n'est pas évolution En gravitation autour du fion
12.
Tu as quitté ta vie sur la pointe des pieds à pas feutrés un beau soir Sans un adieu, un au revoir Presque en douceur Et surtout pour ne pas réveiller Notre douleur J'ai maudit ce malheur qui t'avait emportée j'ai supplié mais en vain j'aurais voulu de ce destin Changer le cours Mais le ciel ne m'a pas écouté Est resté sourd Ne restent que mes larmes face à cette injustice Qui me prive à jamais De toi que j’aime et qui m’aimais De ce bonheur Et des liens qui toujours réunissent Des âmes sœurs. Tu es partie trop tôt au mitan d’une vie Et me reviennent ce désarroi Et ces questions : mais pourquoi toi ? Et pourquoi nous ? Et j’ai beau l’espérer je n‘oublie rien, rien du tout. Le rideau de nuages s’est à peine entrouvert Qu’au ciel éclosent les étoiles La lune pâle étend son voile Comme une traine De mariée sur la mer Apaise ma peine. Dans le ciel étoilé puiser quelque courage Les vagues s'échouent sur la grève Mettre le cap droit sur ses rêves Devant, tout droit Pour ce bien long voyage Vers toi, là-bas
13.
Préjugés 05:40
Lorsqu'un mec aime un autre gars, Pour toi c'est contre nature. Faudrait les boucler ces enflures. Si L'homo gêne, l'hétéro pas. Tu rêves de les mettre au pas, Les fondus de la bicyclette. Pour toi ce sont tous des mauviettes. Si L'auto gêne, le vélo pas. [Refrain] L'amour est dans le pré. Ta conduite est au jugé Un vrai mouton des préjugés. Des œillères et des apriori. Qui que tu sois, t'en manques pas Embourbé l'nez dans tes préjugés. Dans Tes œillères et tes a priori. T'es un adepte des coups bas, Poule mouillée et même pire. Au moindre danger tu te tires. Le héros gêne, le lâche pas. Pour toi l'sujet est délicat, Quelqu’un débarque sur l’autre rive ? Tout s’efface de ta mémoire vive. L'occis gêne, le vivant pas. Les boîtes à rythme t'es contre ça. Et ces syncopes te bassinent. T'es plutôt pour mettre en sourdine. l'électro gêne, l'acoustique pas. T'adhères à tout ce que tu vois. En citoyen mouton et veule. Critiquant à qui ouvre sa gueule. L'anti gêne, le pro pas. [Refrain] Que tu sois jeune ou bien âgé Avec ton cerveau rabougri T'es qu'un mouton aux préjugés Aux œillères et aux apriori

about

L'Homme, du haut de son grand H et de ses technologies avancées, culbute sur son jouet inspiré de l'ère Crétacé, s'auto-détruisant.
Belle chute pour cet hexaptyque. 0_0

credits

released July 14, 2023

Michel Douilly: Texte du "Livre doré".
Jef Herzog: Textes sur "A flux tendu", "Préjugés", "Dégâts D'egos", "Tel Un Nouvel Ulysse", "Sur la pointe des pieds".
Sybelle: Choeurs sur "Tel Un Nouvel Ulysse".


L'image contient des éléments de Parker_West trouvés sur Pixabay

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about

Mortel Versailles, France

MORTEL, c’est un cri dans un gant de boxe, une harpe en fils barbelés, de l'IA dans une boite à Meuh, un néologisme acoustique, un punching ball péteur.
Du rock industriel qui défoule sans conventions, l'énergie est seule maitre à bord. Mortel peut aussi servir à décrasser tes baffles, faire fuir les chats qui chient dans ton jardin... c'est la musique prescrite par ton médecin.
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