1. |
Lilith, l'1 parfaite
02:37
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Des dieux nordiques,
Des déesses antiques,
Des elfes gaéliques,
Merlin et toute sa clique,
Des esprits mystiques,
De tout l'eden biblique,
Il n'y a que toi qui m'habite, Lilith.
Lilith on a fait de toi un démon.
Ton seul tors était d'avoir dit non.
Une tueuse d’enfants, Voleuse d'amants.
Du paradis, on t'en fait serpent.
La mère du crime, Spolieuse d'Adam.
La sentence est bien lourde Lilith.
Succube, vice, nuit, sorcière, monstre, enfer
Puis vint l'oubli... Le pire.
Non.
Juste osé refuser se coucher, se donner.
Tu voulais l'équité, Un affront cher payé.
Lilith née de la même glaise que Adam.
Ton jugement fait loi depuis 4000 ans.
Mais ne regrette rien,
car même Eve la docile
essuie encore nos pardons.
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2. |
Les bonnes résolutions
02:26
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Après le jour de l’an
Si je fais un bilan
C’est alors qu’apparaissent
D’incroyables promesses !
Je ne chanterai plus
Des chansons incongrues
Un peu libidineuses
Aux rimes racoleuses.
Fini ! Juré ! Craché ! Ma vie de débauché,
Car pour mes trente berges, C’est comme si j’étais vierge.
Au seuil de l’an nouveau, Je repars à zéro.
Et dans mon répertoire, Rien de blasphématoire.
[REFRAIN]
Les bonnes résolutions, Abreuvent mes sillons,
Imbibées d’autre part, Par différents nectars.
Or ces bons sentiments, Comme nous allons le voir.
Sont moins désaltérants, Qu'un grand cru, blanc ou noir.
Je sors plus ou moins bien
Trois couplets, un refrain,
Noyés dans la guimauve
Il faudrait que j’innove…
Voilà le naturel
Et son aspect charnel
Qui aussitôt rapplique
De façon diabolique
Adieu les grands serments, J’ai le pressentiment
Que soudain se rallume, La verdeur de ma plume.
Monsieur le Président, Moi ? Je suis innocent !
Accusez-donc ma Muse, Qui ell’ n’a pas d’excuse.
[REFRAIN]
Les bonnes résolutions, Abreuvent mes sillons,
Imbibées d’autre part, Par différents nectars.
Or ces bons sentiments, Nous avons pu le voir.
Sont moins désaltérants, Qu'un grand cru, plein d'espoir.
...
Sont moins désaltérants, Qu'un grand cru, qui pu l'croire.
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3. |
La lande du bouc
03:20
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Sorginzelaia (terrain de sorcière)
Sorgin-dantza (Danse des sorcières)
Sorginkerria (Enchantement)
À Zugarramurdi.
Elles dansent, envoutent les flammes.
Elles dansent, à l'Akelarre. (Cérémonie)
Pour Mari. Ou aujourd'hui encore.
Dans le feu, ondule son corps.
Elles dansent, le vent est femme.
Elles dansent, les sorginak. (sorcières)
Pour Mari. Qui aujourd'hui encore.
Quelques flocons, devinent son corps.
[Les sorginak]
"Ni dieu ni diable dans mes sermons".
"A mère nature seule mes prières vont."
Mais pire qu'haize "le tourbillon",
Vint d'Urdax: L'inquisition.
[Les inquisiteurs]
"Il parait qu'elles se changent en cerf".
"Il parait qu'elles volent dans les airs".
"Hérésie ! Maudites sorcières".
"Hérésie ! Côtoient l'enfer".
"Hérésie ! Nous veulent la guerre".
"BRULEZ ! AU BÛCHER !!!"
Elles dansent, l'eau devient larmes.
Elles dansent, les fumées: Âmes.
Pour Mari, Ou aujourd'hui encore.
Dans les torrents, serpente son corps.
Elles dansent, dans chaque femme.
Elles dansent, veille sorgina.
Pour Mari, et aujourd'hui son corps.
Par les Tempêtes, nous gronde encore.
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4. |
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Si les écrits des règles à suivre étaient édités de Mille ans. (Milan)
On pourrait pas dire du temps: "C'est comme les moulins, c'était mieux à vent".
Mais faut pas mettre la charrue avant les vœux, Juste sur une promesse de pets.
Je ne veux surtout pas que l'effet se fasse, j'ai haï la période décès... :-(
A la recherche du temps perdu.
A la recherche des âmes fendues.
On n'écrit pas l'histoire avec une gomme, ni blanc sur blanc.
On n'écrit pas l'histoire avec une gomme, ni sur des pansements.
Au siècle des lumières, Dans le noir tu t'es branché à du coran. edulcorant
On a tous construit de nos chènes, Mais dans ton livre c'est Sans Glands. (sanglant)
Lorsqu'on écrivait "libération", Toi t'as compris "lapidation".
L'avenir appartient à ceux qui ont le veto, Toi ça te casse les urnes.
On n'écrit pas l'histoire avec une gomme, ni blanc sur blanc.
On n'écrit pas l'histoire avec une gomme, ni sur des pansements.
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5. |
La dé-fête des voisins
02:55
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Dans mon jardin, mon p'tit bout d'terrain.
Pour faire la haie j'ai mis plusieurs parfums.
Des fleurs pour la couleur, un petit peu de romarin.
Et puis pour partager, j'ai planté même du raisin.
Je m'y voyait déjà. Mais un truc ne va pas.
J'ai oublié je crois, Un seul critère de poids.
Mais quand ton voisin c'est Kim jong un.
T'as beau vouloir faire bien, ca sert à rien.
J'ai tout arraché, monté un mur mitoyen.
Armé de verre pilé, ça craint !
Dans mon lopin, Mon p'tit potager.
J'ai bien fait attention, rien de frelaté.
C'est que du naturel, du bio et butiné.
Et puis pour les bestioles, tout s'est équilibré.
J'me régalais déjà. Mais un truc ne va pas.
J'ai oublié je crois, un seul pépin de poids.
Mais quand ton voisin c'est borso l'Brésilien.
T'as beau vouloir faire bien, ca sert à rien.
Il m'a tout pollué, de ses rejets clandestin.
M'a mis l'feu au verger, ça craint !
Sur mon palier, mon p'tit hall d'entrée.
Comme on aime recevoir je voulais pas me rater.
J'ai mis un paillasson qui dit "Vous êtes invités".
Sur Un p'tit pot de bonbons "Servez vous a volonté".
J'me faisait beau déjà. Mais un truc ne va pas.
J'ai oublié je crois, un seul détail de poids.
Mais quand ton voisin c'est poutine et ses chiens.
T'as beau vouloir faire bien, ca sert à rien.
Il m'a prit mes clés, enfilé mes Mocassins.
M'a enfermé dans l'cellier, ça craint.
J'prends mon vélo pour mes p'tis bouts d'chemin.
Ca me dérouille et pour la planète, c'est bien.
Mais Quand ton voisin c'est un Américain... Ca craint !
De tous les côtés y a toujours un crétin.
Qui croit qu'l'e quartier c'est l'sien.
Alors demain à la fête des voisins,
Dans le gâteau j'leur rendrais leur purin.
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6. |
Juste Indienne
03:19
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[Refrain]
Ni souveraine, Ni bohème, Ni foraine, Tu es Indienne.
Tu as au fond de toi, Tout l’esprit d’une Indienne.
Et tes nuit sont bercées, Par le chant des cheyennes.
Tu t’habilles parfois, De franges sur tes manches.
Tu te vois au milieu, D’une tribu Comanche.
Quand il fait beau dehors, Quand tu es bien chez toi.
Tu voudrais habiter, Un tipi d’iroquois.
Tu peux être emportée, D’une colère franche.
Qui pourrait ressembler, A un combat apache.
[Refrain]
Ni Cubaine, Ni Slovène, Ni Roumaine, Tu es Indienne.
Indienne dans le sang.
Tu ne sais pas comment.
Ton futur comme l'avant.
Indienne est ton présent.
Quand tu regardes un arbre, Avec un tronc bien rond.
Toujours tu l’imagines, Comme un totem huron.
Restes Indienne dans ta tête, Gardes un peu ta rêverie.
Restes Indienne dans tes rêves, Ça adoucira ta vie.
A la vue des chevaux, Tu as froid dans le dos.
Tu galoperais bien, Avec GERONIMO.
Tes yeux sont vers le ciel, Nous on trouve ça crédule.
Toi tu te vois en face, Du grand chef SITTING BULL.
[Refrain]
Ni ancienne, Ni moderne, Ni doyenne, Tu es Indienne.
Quand le sol est aride, Ton esprit improvise.
La danse de la pluie, A coté de COCHISE.
Restes Indienne dans ta tête, Gardes un peu ta rêverie.
Restes Indienne dans ta tête, Pour éviter la folie.
Le monde autour de toi, Est un monde de fou.
Tu as envie souvent, D’implorer MANITOU.
La seule direction, Qui te semble indiquée.
C’est de suivre ta route, Avec BISON FUTÉ.
[Refrain]
Si terrienne, Tellement pleine, Si humaine, Juste Indienne.
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7. |
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1.2.3 GrosChienDeGardeCotelette.
4.5.6 ÉpiVermiSelleDeCheval.
7.8.9 GénHisséHautComme3Pommes.
10.11.12 PerdRizAuLaidCommeUnPou.
12.11.10 PonaissAncienTestament.
9.8.7 ÉpauLaitTièrsMOndeDeChoc.
6.5.4 P'titCanArdOisAubépine.
3.2.1 CochonsPendusAuPlafond.
Merde. Et merde.
J'voulais choquer personne.
Faire une chanson sympa, zéro carbone.
Un truc qui se monte sans neurones
Mais j'ai dû glisser sur une hormone.
C'était sûr.
Car j'ai dû choquer.
Écorcher, bouleverser, au moins troubler
Les végans, Les nains,
Les sans gluten, daltoniens,
Les dyslexiques, cartésiens,
Les moches voire les putains,
Les cons et dyscalculien,
Les chasseurs et même leurs chiens,
Les croyants et paroissiens.
Les parasites même humains.
J'voulais choquer personne.
Les seuls qui n'gueulerons pas s'ront les aphones.
J'voulais choquer personne.
Alors La prochaine fois j'mettrais pas d'consonnes.
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8. |
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Je retrouve une vieille enveloppe :
Écrite du haut de mes 10 ans.
Souviens-toi, Il n'y a pas si longtemps.
Tu volais, sur un tapis volant.
Distribuais, à manger aux enfants.
Que tu voyais, sur la télé des parents.
Rétrécissait, les bandits, les tyrans.
Les mettais, dans ta fausse boite à gants.
Convaincu, qu'ce serait mieux maintenant.
Tu repartais, voyant sourire les gens.
Et maintenant ?
[Refrain]
Dis, si un sujet t'ulcère,
Te tairas tu comme les grands ?
Laisseras-tu les choses se faire,
Parce que tu n'as pas le temps ?
Souviens-toi, Il n'y a pas si longtemps.
Tu fonçais, en sous-marin transparent.
Éloignais, les bêtes des trafiquants.
Tu sauvais, même les grands requins bancs.
Tu harponnais, les bateaux des méchants.
Tes lasers, les rendaient inopérants.
Convaincu, qu'ce serait mieux maintenant.
Tu goutais, le calme de l'océan.
Et maintenant ?
[Refrain]
Dis, si un sujet t'ulcère,
Laisseras-tu les choses se faire,
Parce que t'as plus important.
Quelles limites aurais-je dû mettre,
A tous mes rêves d'enfant ?
Et si tu n'peux rien y faire,
Alors dis moi, pourquoi être grand ?
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9. |
L'arme des rimes
03:45
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Dans le grand tribunal, Comparait le marginal.
Un dangereux anarchiste, Classé P et terroriste.
Faut dire que tout l'accuse, Les faits, la science incluse.
Le contenu du cahier, Inutile de tout nier.
De nier tous ses méfaits, C'est qu'ils l'ont pris sur le fait.
Les valeureux militaires, l'ont Menotté, jeté à terre.
[Refrain]
Il avait, ce bon à rien, de l'encre sur les mains.
Et planqués sous des papiers, Le stylo et le cahier.
Le stylo, l'arme du crime, Le cahier, Chargé de rimes.
Comme pièces à conviction. Et preuves de l'infraction.
C'est aujourd'hui qu'on le juge, Pour insolence et grabuge.
De révoltantes pratiques, Et trouble à l'ordre public.
Et la foule en redemande, au pied du tribunal.
Elle crie "Que l'on le pende, Cet homme incarne le mal".
Le sinistre procureur, en des termes peu flatteurs
Parle alors devant la cour, Dans un féroce discours.
Il semblait Aveugle et sourd.
« Vous n'êtes qu'un criminel, un détraqué sexuel.
Qui a taquiné la muse Bien trop de fois; nulle excuse.
Du délit, soyez-en sûr, vous bravez l'auto-censure !
Pour ce crime point d'amende, Je réclame qu'on le pende.
Survient un témoin à charge "C'est qu'il écrit dans la marge.
Ne respecte pas les lignes, L’orthographe et les consignes.
De plus il écrit en vers ! Ces gens-là faut les faire taire.
Qu'on les traque, qu'on les confonde Ou qu'ils fassent comme tout le monde".
Une apparition soudaine Femme ou mirage entre en scène.
La poésie incarnée Parle à la cour étonnée.
"Je suis celles que vous nommez Muse, Nullement victime, je m'en excuse.
C'est vrai qu'il m'a taquinée Mais a aussi exaucé
Tous mes rêves et mes fantasmes, Je lui dois bien des orgasmes.
Ne soyez pas trop sévère, Vous qui êtes si réfractaire.
Pendez plutôt ses écrits, à portée de vue de la patrie.
à ses vers monsieur le juge …. Prenez donc un vermifuge."
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10. |
Espéranto maternel
02:13
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Kiam inteligento malkovros nian planedon,
Ni klarigos al ili, ke ni estas evoluintaj kaj civilizitaj.
Sed kiel ni diros al ili, ke ni dividis la teritoriojn?
Ke ni ankoraŭ havas pli multajn lingvojn,
kaj ke ni ĉiuj ne kapablas komuniki.
Ke ni ne dividas niajn rimedojn juste.
Ke ni ĉerpas, ke ni fosas ĝis la fundo.
Sen lasi sian parton al la naturo.
ne lasu ĝin esti mi, ĉar mi ne kapablas ĝin.
Kiam inteligento malkovros nian planedon,
kiel klarigi ĉi tion al ili, ĉi tiun malsukceson
Esperanto estas nur la unua paŝo.
Kaj tiu tago ne estas morgaŭ, sed kiu scias.
Ci estu pretaj
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Lorsqu'une intelligence va découvrir notre planète,
On leur expliquera qu'on est évolués et civilisés.
Mais comment on leur dira qu'on a divisé les territoires.
Qu'on a plus de langages encore,
Et qu'on est incapable de tous communiquer.
Que nous ne partageons pas équitablement nos ressources.
Que nous extrayons, que nous creusons jusqu'au au fond.
Sans laisser sa part à la nature.
J'espère que ce ne sera pas moi, j'en suis incapable.
Lorsqu'une intelligence va découvrir notre planète,
On leur expliquera ça, cet échec.
L'espéranto est juste un premier pas.
Et ce jour n'est pas demain, mais qui sait.
Soyons prêts
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11. |
Impair et passe
02:46
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La demoiselle est vraiment belle.
Vraiment la classe, Je romps la glace.
Quelques ficelles, C'est le dégel.
Tour de passe-passe, Et je l’enlace.
Vraie top model, Si sensuelle.
Elle chancelle quand je l'embrasse.
Se débarrasse de ses dentelles.
Avec audace, mais tant de grâce !
Plaisirs charnels, Trop démentiels.
Comme un as, je me surpasse.
Septième ciel, Lune de miel.
Passion vorace, Bonheur fugace.
Car …Voilà ma belle Qui se rebelle.
Bien tôt hélas, Je l’embarrasse.
Et ces querelles perpétuelles.
Tout est grimace, Vraiment l’impasse.
Ma tourterelle, M’est infidèle.
J’en perds la face, J’en bois la tasse.
Cette donzelle, Superficielle.
Est dégueulasse, Qu’elle se casse !
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12. |
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Motivé pour écrire le morceau de l'année.
Mieux: De la décennie, voire du siècle en entier.
30 ans qu'j'en vois fleurir, à la radio la télé.
Je sais les définir, Je suis bien qualifié.
Ca m'a l'air bien facile, il suffit de piocher.
Des artistes qui inspirent, des noms qui sont restés.
Un rythme pas trop rapide, 2/3 notes pour meubler.
Je pourrais pas faire pire, C'est du niveau CP.
Alors je fais...
Comme Bécaud, j'te secoue le micro.
Comme Michel, je fais d'la ritournelle.
Comme Renaud, foispar j'inverse des mots.
Comme Axelle, je n'chante que les voyelles.
Comme Léo, je cause sur mes morceaux.
Comme Brel, je suis un faux rebelle.
Comme arno, j'mets d'la rouille dans l'tuyau.
Comme Mireille, je bêêêêêêle, je bêêêêêêle.
C'est simple...
Je tape sur les bambous, on m'a tout débranché.
Alors je gratte un p'tit peu, et c'est enregistré.
J'ai tous les ingrédients, y a plus qu'à mélanger.
J'm'improvise arrangeur, comme si c'était un métier.
Je cause un peu d'amour, d'une bohème à oilpé.
D'un type qui joue debout, c'est son père en vérité.
Ils prennent Joe le taxi, et l'ananas moud l'café.
Je n'ai rien oublié, pourquoi ça n'a pas marché ?
Pourtant j'ai fait...
Comme Gainsbourg, j'ai pêté dans l'micro.
Comme Francky j'ai b[bip] [censure]ouge.
Comme Piaf, A fond le trémolo.
Comme Johnny, A que "Rock n'roll".
Comme Cloclo, j'ai dis que du pipeau.
Comme Carla, [vide sidéral].
Comme Solaar, Énuméré le dico
Comme Lara, J'aiiiiiiiiiiiiiii.
Ca donnait ça...
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13. |
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Elle se lève à 6 heures tous les jours de la semaine
Maquillage machinal sur vaisselle de la veille
Elle avale son café dans un demi sommeil
Et va finir sa nuit dans l'métro qui l'emmène
[King's Bridge]
Dans une heure elle passera
Son habit de couleur
Dans une heure deviendra
Miss Royal King Burger
[Refrain]
American first mais laissons les devant.
Pour prendre derrière le meilleur du nouveau.
Mais pourquoi en France n'avons nous le talent
De n'savoir prendre que les défauts.
Des milliers de silhouettes aux yeux remplis de brume
Se pressent, s'entrecroisent et se frôlent sans se voir
Elle ferme bien son col, faudrait pas qu'elle s'enrhume
Ballotée dans la rame qui ferraille dans le noir
[Pont de tancarville]
Il lui vient des images d'océan de soleil
De belles villas blanches, piscines bars et cocktails
Elle pense à son amour qui livre des pizzas
Qui flippe sur son scooter dans ces quartiers là bas
[Brooklyn Bridge]
Son Amérique à elle, c'est l'odeur du graillon
Des frites et des poubelles du côté de Nation
Son Amérique à elle, faut se faire une raison
Ne s'ra qu'une carte postale sur les murs du salon
[Pont du Gard]
[Refrain]
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Mortel Versailles, France
MORTEL, c’est un cri dans un gant de boxe, une harpe en fils barbelés, de l'IA dans une boite à Meuh, un néologisme
acoustique, un punching ball péteur.
Du rock industriel qui défoule sans conventions, l'énergie est seule maitre à bord. Mortel peut aussi servir à décrasser tes baffles, faire fuir les chats qui chient dans ton jardin... c'est la musique prescrite par ton médecin.
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