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Cri d'atome

by Mortel

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1.
Des portes, des barres, un toit, une cour. Un sol, si dur, des murs autour. Des vitres, Des gens, pas un bonjour. Je tourne en rond Depuis toujours. Est-ce normal !?! Quelque chose me gène, comme un trou dans mon ADN. Lorsque Papachydermes se défense au travail. Mamammifère glandes mammaires au bercail. On a rien ivoire ici on a du se tromper. Faut qu'j'trouve la sortie ou j'vais m'faire ongulé. Cétacé ! Quelque chose me gène, comme un trou dans mon ADN. Paparesseux est scotché à son rail. Mamarsupial plein les poches d'la marmaille. Non mais Aï on est ou on a du trop pioncer. Kan l'gourou s'barre, prendre les lents et sauter. C'est koala ! Quelque chose me gène, comme un trou dans mon ADN. Papalligator se lézarde dans l'bocal. Mamatamata dit qu'ici on s'l'écaille. Est scutelles crois qu'c'est Caiman l'été... J'en saurien pourquoi juste qu'y faut se barrer. Mais on est Houuuuuu. Non mais c'est Koa ça. Qu'est ce que tu croa. Sauvage optimisé pour finir en T3 !?! Garde ta Savane climatisée et meublée. Fourre toi ta Jungle avec cuisine intégrée. Enfile tes plaines aux loyers modérés. Et ta forêt 5G devine ou t'la carrer.
2.
Dans la chaleur d'été, vit un autre monde. Les masques tombent, en entrant dans la ronde. La nuit dans la galaxie, tous les chats sont gris, qui reconnaîtra les voleurs ou les bandits. ceux qui vont se griser, en cherchant un amour, ceux recherchés pour des méfaits, depuis des jours. La nuit les protège si bien, des ennemis et de chacun. [REFRAIN] Les insomnies, qui embellissent l'envie et qui traversent les lits. qui fracassent les vies et qui creusent les soucis. Pendant que le jour, fourbues d'avoir créé autant de bouillonnements. Pendant que le jour, s'endorment sereinement. La nuit dans le silence, tournent les esprits La nuit fait sursauter au moindre bruit, aux cris Ces lames qui brillent aux poignets des filles Dans ces paradis perdus, la lumière scintille. J'veux faire pause sans le briser, Je t'aime moi non plus Morphée. [REFRAIN] Les insomnies, qui suggèrent des bruits et qui embellissent l'envie. qui traversent les lits et qui fracassent les vies. Pendant que le jour, fourbues d'avoir créé autant d'emballement. Pendant que le jour, s'endorment sereinement. Toutes ces heures blanches, je les arrache au néant, au sommeil évité, pour retrouver le temps. Je l'aurais perdu, si je m'étais endormi, regardant par la fenêtre, le train de la vie. Un Monde si riche et si fugace. Une faille dans l'espace. [REFRAIN]
3.
Rien qu'un fil, attaché à ta patte Une entrave, que tu ne brises pas Rien qu'un fil, qui limite tes pas. Une cage, qu'il n'y a que toi qui voit. La machine est en toi. J'ai tiré, tiré, fait saigner mon corps J'ai mordu, mâché, encore et encore, J'étais si jeune, et sa vue à présent Me rend si docile... La machine. Car tout se brise, tout est plus fragile que tu crois. Tout sauf l'emprise, Que la machine a sur toi. Car tout se brise, même les choses qui ne se voient pas. Et la machine, ne gagne que le 1er combat. La machine n'est plus forte que toi. La machine que la première fois. Car tout se brise, tout est plus fragile que tu crois. Tout sauf l'emprise. Que la machine a sur toi. mais n'te le dis pas. Une entrave, qui n'existe que pour toi. Car tout se brise, tout sauf l'emprise. Que la machine a sur toi.
4.
Dans mon palais, de terre séchée, Mon âme s'égare dans un conte de fées. Des rires de princesse, s'échappent d'un pommier. Tandis que dehors, les arbres... [Refrain] S'effeuillent. Qui a soufflé ? S'effeuillent. Sur mes pensées. Désolé princesse, les branches seront sèches. Les pages se tournent, comme autant d'années. Se dessine un parc, j'en monte l'escalier. La princesse est si belle, en tenue de mariée. Elle cherche son mari, mais son image... [Refrain] S'effeuillent. Qui a soufflé ? S'effeuillent. Mon intimité. La guerre dans son ivresse, T'a pris tes caresses. Un Blast, une seconde. Les murs, s'effondrent. La vie, des cendres. Ma vie, une ombre. Ce coup de vent à fait tourner. Toutes les pages de mon cahier. Sur son dos, j'ai pu semer. Une dernière larme pour clôturer. [Refrain] Ces feuilles. Qui ont gardé. Ces feuilles. Ma trace passée. Souvenirs de jeunesse, mes rêves, mes promesses. [Refrain] Ces feuilles. Non entamées. Ces feuilles. Vont faire pousser. D'une larme qui s'assèche, les regrets qu'elle verse.
5.
C'est un soir d'octobre, à Beg-Meil. Par les marches de l'étendue, Rouges encor d'un sang vermeil, La nuit pieuse est descendue Pour ensevelir le soleil. De ses mains ferventes et pures, Elle a couché l'astre vital Dans les somptueuses guipures Du grand linceul occidental, Et voici qu'au gouffre atlantique Où le mort splendide a sombré L'Océan roule son cantique, Son immense Dies irae. Les étoiles, une par une, Piquent leurs cierges dans le ciel Et blanche Antigone, la lune S'incline au tombeau fraternel. Sur sa tristesse sidérale Flottent, en crêpes d'argent clair, Des pans de brume d'où s'exhale Comme un goût de larmes dans l'air... O lune, immortelle pleureuse, A ton deuil cosmique, ce soir, Permets qu'une âme douloureuse Mêle son humble désespoir. Laisse-moi croire, pour une heure, Que tu l'as peut-être entendu, Mon cri d'atome humain qui pleure L'être unique à jamais perdu. Que de fois, que de fois, ô lune, Nous avons, Elle et moi, peureux, En ce même repli de dune, Tremblé du crime d'être heureux ! Que de fois, sur ces mêmes sables, Nous avons frissonné soudain De sentir nos cœurs périssables Frôlés par l'aile du destin ! Alors vers toi notre prière Montait; et ton regard en nous Distillait, avec sa lumière, Son dictame apaisant et doux. O lune qui nous fus amie En ces temps, hélas ! révolus, La vie en qui j'avais ma vie, Celle qui m'était tout n'est plus. Cœur solitaire, corps sans âme, Réduit à regretter sans fin Ce qu'une tendresse de femme Peut contenir de plus divin, Je viens m'enivrer de ma peine, Aux lieux qu'entre tous Elle élut, Et leur offrir ma plainte vaine Comme un triste et dernier salut. A Beg-Meil, par un soir d'automne, Fut composé ce thrène amer Le long de la grève bretonne Où, de Vorlenn à Toul-ar-Stêr, Sonne le sanglot de la mer.
6.
A la Cop21, On retrouve les copains. On s'tient main dans la main, on chante un même refrain. Qu'c'est l'urgence absolue, Et qu'on recommencera plus. On passera à l'action, Mais juste après les élections. On vient d'tuer un fleuve brésilien, Rendu toxique l'air de pékin. Mais c'est fini Paris tenu, J'vous promet tout sera résolu... ...A la Cop22, Finalement c'est pas mieux. L'escape game des nations à la recherche de l'ambition. Y a zéro décisions, Les mains dans l'pantalon. Mais les poches sont trouées à l'hôtel des culs tournés. Faut dire que rien qu'Fukushima A mis l'climat dans le Coma. Mais y a un début d'solution: Un bus qui roule aux déjections. ...A la Cop23, désolés ça va pas. Les copains d'la promo, nous font leur crise d'ado. Les Ricains virent mégalo. Les Brésiliens pyros. Et pour financer les décisions. On va jouer à l'Euromillions. Tout crame les forêts, les cargos. Des vagues de billes ça c'est nouveau. Pour lutter on a des idées: C'est sous la douche qu'il faut pisser ! ...A la Cop24, comment dire... J'ai pas d'mots. Si on veut l'son et les photons, Faites tourner l'usine à charbon. Les promesses tombent à l'eau. L'Arctique on veut sa peau. La seule chose qui prolifère. C'est les gaz à effet de serre. Qu'est ce qui est noir et fume en Chine. Une marée noire pas ma cousine. Mais surtout vous inquiétez pas, Donnez vos cheveux on récupérera ça ! ...A la Cop25, Eux boivent et nous on trinque. l'ONU donne le mouvement, allure de morts vivants. On parle en acronymes, On invente l'écocide. Maintenant qu'on a les mots, conjugue moi "j'vais crever bientôt" La russie planque ses radiations. Et le Chili flingue Guarello. Pour compenser, il faut frapper: Les cotons tiges s'ront en papier. ...A la Cop26, on cuisine aux épices. Raclette de Permafrost, on f'ra la diète en 2030. En entrée du vison, Servi dans ton avion. Le qatar pour dessert, nous met la clim dans le désert. Les artistes sont tous de sortie. Mer noir en inde, rouge en russie. Mais ouf, pour un mobile acheté, Y a plus le casque dans le boitier ! A la Cop40, l'action commence. Mais y aura personne pour l'constater. Plus ça augmente, plus c'est l'urgence. Ce serait plus juste de décrémenter. "Décadence of parties", c'est la DéCop. Après l'décompte, tu sais qu't'écopes.
7.
On prend des clowns, Pour nous diriger. Des incultes dans nos karaokés. Des mégalos, aux manettes des fusées. Des cupides, pour nous libérer. Et pourquoi pas, un pyromane proprio de l'Amazonie. Ou des voyants pour gérer des pandémies. Alleeeez, carrément des dealers à l'économie. Comment ça, c'est c'qu'on a mis !?! 0_0 [Refrain] On devient fou, ou bien maso. Y en a partout, des fêlés des sados. On leur lâche tout, pour un fake ou un bout d'peau. On clique "Au loup", dès qu'une tête dépasse du lot. Des complotistes hurlants. En manque de sentiments. Mènent les foules en bêlant. "Faut pas prendre les cons pour des gens". Tes clics et ton pognon. Les sons dans ton salon. Sont armes de décisions. Y en a pour toutes les convictions. Tu cliques, tu votes. Tu paies, tu votes. Tu votes, tu votes. Les voix de demain dans ton salon. [Refrain] On devient fou, ou bien maso. Y en a partout, des fêlés des sados. On crie "Au loup", dès qu'une tête dépasse trop. Un futur ou l'déclic ne f'ra pas véto.
8.
Survoltage 02:49
Les 4 éléments naturels, essentiels. La terre, la mer, de l'air, puis le plus élémentaire. Électricité. Nous sommes tous dépendants de chaque atome de courant. Il y en aurait des révoltés s'il n'y avait plus un seul volt. Le besoin de puissance pour passer en état de trance. Nous sommes tous chargés... D'électricité. Pour y voir encore plus clair, nous marchons au nucléaire. Pour être carrément bref, il n'y a qu'un mot : E.D.F. La panne de courant générale est devenue intolérable. Nous sommes tous chargés... D'électricité. Pour devenir invincible, J'me suis fait greffer une pile. De mes pieds à mon gosier, je suis tout électrisé. J'dirais pas par ou j'me r'charge, j'ai des électrons en bas âge. Mais je suis chargé... D'électricité. Envoyez moi ma dose ! Pas besoin d'autre chose. Que la vie morose... Sans électricité. [Solo du tonnerre] Et merde... Ces enfoirés m'ont mis l'obsolescence programmée.
9.
Tant de commentaires blessants. Tant de soupçons sans fondement. Et de griefs illégitimes. Mais dis moi donc à quoi ça rime ? Arrête donc de bavasser. Assez, j'en ai vraiment assez. Je vais me casser.... Tous ces cris ces caquètements. Qui me déchirent les tympans. Tous ces reproches pour des broutilles. A en regretter sa coquille. J'ai beau, j'ai beau me cuirasser. Assez, j'en ai vraiment assez. Je vais me casser... Vraiment, J'en ai vraiment raz la crète. Bien trop, bien trop de prises de bec. D'où te vient cette rancune. Ces allusions inopportunes. Mille et mille une fois ressassées. Assez, j'en ai vraiment assez. Je vais me casser.... C'est vrai ma poule, je suis un lâche. Je répugne un peu à la tâche. Pas une raison pourtant. De me traiter de tire-au-flan. Tu vas finir par m'agacer. Assez, j'en ai vraiment assez. Je vais me casser.... Tu me dis macho phallocrate. A moi qui rêve de coq en pâte. Toi qui me voles dans les plumes. Je voudrais qu'enfin tu m'allumes. Et que tu me câlines assez. je n'en aurai jamais assez.
10.
Je ne suis qu'un petit poids. Tu ne parles pas, ne respire pas, pourtant j'entends ta voix. Je ne suis pas un géant comme toi, mais un petit poids. Je n'suis pas le plus costaud des poids, mais tu fuis mes pas. Malgré mes prouesses, Malgré mes exploits. Quand mon regard s'abaisse, Je n'entends que toi. Je ne pèse que quelques gestes et phrases, de toi autrefois. Mais un seul mot ou une seule image pèse si lourd parfois. Une honte. une faute, écart. J'perds mes forces, J'me sens mal. Et moi j'adore ça !!! Mais quand vas tu te taire... Arrêter cet enfer. Est ce que les autres comme moi... Ont ce maudit petit poids ? Dis moi, Tu sers à quoi.
11.
Cela faisait des jours qu’il errait en silence De colline en vallée sur ces sentiers déserts Suivant obstinément sa quête et son errance Le marcheur solitaire. Sous un soleil de plomb dans le pays aride L’étranger en haillons s’était un jour perdu Ne sachant où aller marchant le ventre vide Et tout le corps fourbu. Il n’avait rencontré ni fontaine ni source Pour apaiser la soif qui lui brûlait les lèvres Adoucir sa fatigue dans l’infernale course Dévoré par les fièvres. Anivorano, mais pourquoi. Anivorano, Montrer les crocs. C’est alors qu’épuisé lorsque tombait le soir Lui parvinrent d’en bas quelques faibles lumières Quelques signes de vie quelques lueurs d’espoir Émanant des chaumières. Arrivé au village, épuisé, demi mort Il frappa mais en vain aux portes des demeures « Donnez-moi un peu d’eau, j’ai soif, je vous implore Mais non n’ayez pas peur ! » Il frappait, il cognait, aux portes et fenêtres. Des murmures des ombres précédaient ses pas. Il priait, il criait, Non je ne suis pas une bête. Un verre d'eau, Rien que ça. Anivorano, mais pourquoi. Anivorano, Montrer les crocs. Jusqu’à ce qu’une vieille entrouvrit sa fenêtre Offrit du pain et de l’eau au pauvre va nu pied La seule dont le cœur semblait encore peut-être Connaître la pitié « Toi qui a su m’entendre moi pauvre vagabond Suis vite ce conseil en guise de merci Laisse-là sans tarder » lui dit-il ta maison Enfuis toi loin d’ici. » A peine la vieille femme s’était elle retirée Qu’éclatait tout à coup, un monstrueux orage Et la pluie diluvienne tout à coup déchaînée engloutit le village Et depuis, le village demeure les portes closes Ou les pingres résidents qui l'habitaient antan. Dans leur eau, si précieuse, Maintenant ils pataugent. transformés en crocos.
12.
Être ou ne pas naitre moi. Ce qui me fait sont mes choix. Mais si mes choix suivent une loi. Alors: Je ne suis qu'encore une fois. Mais... Vous êtes moi !?! Un autre qui pense comme moi. Pareil jusqu'au bout des doigts. Qui est le faux, la copie ? Si c'n'est moi, l'autre c'est qui ? La règle du Je, au début tu ne savais pas. La règle du Je, bientôt tu t'y habitueras. La règle du Je, Tu te trouveras en face de toi. La règle du Je, et tu lui obéira. Combien y en a t-il comme ça ? A imiter tous mes pas. Qui ont poussés tous mes cris. Et qui vivent toute ma vie. La règle du Je, au début tu n'y croyait pas. La règle du Je, bientôt tu t'y habitueras. La règle du Je, Tu te trouveras en face de toi. La règle du Je, et ce sera Toi ou Toi. Si c'est ça chacun pour soi. Le dernier sera le Moi. Je ne ferais rien pour tricher. Maintenant que je sais, tout est tracé. La règle du Je, au début tu n'y croyait pas. La règle du Je, bientôt tu t'y habitueras. La règle du Je, Tu te trouveras en face de toi. La règle du Je, Lequel des 2 dégainera ?
13.
Lorsque je rendrais mon âme, n'en aurais plus usage. Elle ne vaudra rien au gramme, le mieux serait de la donner au détail. Je donnerais mon regard, que j'aimais tant troubler. Qui a vu tant de visages, mais surtout par écran interposé. Je donnerais mes pas, qui ne savent pas danser, Beaucoup fait de sur-place, frustrés de n'avoir plus bougé. Je donnerais mes sons, qui m'ont tant fait vibrer. Sûrement pour cacher le vacarme, d'un silence tant redouté. Je donnerais mes larmes, quelques chagrins essuyés, Une vaguelette parmi les lames, Je les aies en fait à peine essayées. Je donnerais ma voix, qui a surtout hurlé. Mais si loin des combats, elle pèse moins qu'un murmure étouffé. Je donnerais mes pensées, qu'j'ai su faire évoluer. Mais ma force, C'est surtout d'avoir su bien m'entourer. Je donnerais mes souvenirs, du bon et du mauvais. T'y trouveras beaucoup de rires, ma réponse préférée. Je donnerais mes touchers, ceux reçus et donnés. C'est surement ces plaisirs, qui vont le plus me manquer. Et aussi ma mémoire, Et d'ailleurs qu'en ai-je fait... ma mémoire... J'l'ai encore égarée.

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La question Top 1 mondiale demandée à ChatGPT est "Quel est le sens de la vie" (3ème dans Google).
Pas besoin d'un réseau de neurones pour dire qu'il faut déjà faire en sorte qu'elle continue...
Le message arrive.

credits

released March 2, 2024

Les insomnies: A partir d'un Texte de Gozzy (Thierry)
Un soir d'octobre, à Beg-Meil: "Thrène" d'Anatole le Braz
Cher de poule & Les Crocs D'Anivorano: Texte de Jef Herzog
Quelques Images de Bing générator ont été utilisées

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Mortel Versailles, France

MORTEL, c’est un cri dans un gant de boxe, une harpe en fils barbelés, de l'IA dans une boite à Meuh, un néologisme acoustique, un punching ball péteur.
Du rock industriel qui défoule sans conventions, l'énergie est seule maitre à bord. Mortel peut aussi servir à décrasser tes baffles, faire fuir les chats qui chient dans ton jardin... c'est la musique prescrite par ton médecin.
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